Hello!
Vous ne trouvez pas que les heures défilent à la vitesse de la lumière en ce moment? Je prendrais quelques journées de 30 heures s’il vous plaît!
Ma liste de choses à faire est incroyablement longue aujourd’hui : faire le lavage, préparer mes lunchs, bloguer, répondre aux courriels et commentaires, finir un cadeau de Noël, passer par le bureau de poste, etc. Bref, chaque minute est comptée avant de partir travailler (16h à 20h aujourd’hui).
Mardi, c’était la même histoire. J’avais plusieurs commissions à faire alors je suis partie tôt pour tout terminer avant l’heure du lunch. Comme j’étais près des magasins et restos vers 11h30, j’ai décidé de me gâter et de ramener des sushis pour le dîner.
Les restos de sushis-rapide sont très populaires en Australie. On en trouve partout et, souvent, les sushis sont plus qu’acceptables. Je n’ai jamais aimé les sushis des Sushi Shop à Montréal mais, ici, je suis rarement déçue des sushis commandés au comptoir.
Mes favoris sont les végétariens avec tofu sucré. MIAM! J’en prends généralement deux (parfois trois) que j’accompagne d’une salade d’algue et de gingembre. C’est plutôt rare que je tombe sur un comptoir à sushis qui sert des fèves edamame mais, si c’est le cas, j’en commande aussi. Les prix sont très abordables : autour de 2,20$ à 2,50$ pour un rouleau, 3,50$ à 4,50$ pour la salade et 0,50$ pour le gingembre.
Les sushis au comptoir sont généralement servis en rouleaux. On croque dedans comme on le ferais avec un sous-marin. Quelques gouttes de sauce soya et voilà, bonheur total! L’algue est tellement fine qu’elle fond sous la langue.
Il faut souvent payer un surplus pour le gingembre mais c’est un investissement que je qualifierais d’indispensable.
Parfois, je me demande comment j’ai fait pour passer de la fille la plus difficile au monde à une fille qui trippe sur les algues et le tofu. Mes parents n’en reviennent pas encore eux-même. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il s’agit d’un virage à 180 degrés!
Bon, ce n’est pas tout ça, ma deuxième brassée de lavage m’attend!
Sayonara!